C’est au moment du décès que les proches devront définir quel type de sépulture le défunt aurait voulu. Ici encore, c’est un choix qu’il vaut mieux prévoir de son vivant, pour ne pas laisser de doutes à vos proches.
Que ce soit une incinération au crématorium, ou l’inhumation dans un cimetière, il n’y a pas de bon ou de mauvais choix. Chacun doit juger en son âme et conscience de la destination de son corps après son décès.
Il est bon de rappeler que ce choix entrainera des conséquences financières, qu’il vaut mieux anticiper, comme le coût de la crémation (environ 500 €) ou d’un éventuel monument funéraire (à partir de 1000€).
L’Inhumation dans un cimetière
- Terre commune
- Concession en terre
- Caveau
L’incinération (crémation)
consiste à incinérer le corps et à rendre les cendres à la famille pour les différentes destinations autorisées par la loi :
- dispersion au crématorium
- dispersion au cimetière
- dispersion et immersion en mer du nord
- inhumation ou dispersion sur un terrain privé désigné par le défunt de son vivant avec l’accord du propriétaire du terrain
- inhumation en terre commune
- inhumation en terrain concédé
- inhumation en caveau
- mise en columbarium
- reprise d’une partie symbolique des cendres
- retour des cendres à l’étranger
Habillement du défunt
- Il est préférable de vêtir ce dernier le plus légèrement possible et n’avoir recours qu’à des matières naturelles.
- Les défunts ne peuvent être revêtus de caoutchouc, de latex ou autres matières synthétiques non biodégradables
- Aucun objet ne sera toléré dans le cercueil.
- En cas de souhait impératif des proches du défunt de déroger à ces prescriptions et obligations, l’entrepreneur de pompes funèbres doit prendre contact avec la direction du crématorium.
Evolution de la crémation en Belgique
En 2010, 50.809 personnes ont été incinérées, soit environ 1 500 de plus qu’en 2009. Sur la période 2000-2010, le nombre de crémations dans notre pays a augmenté de 42 %